16-03-06 Décidé que n'est pas entaché d'illégalité l'arrêté par lequel le maire réglemente les sonneries civiles et désigne un sonneur de son choix rétribué à cet effet pour exécuter ces sonneries.
16-09 Lorsque le juge de simple police, saisi d'une infraction à un arrêté municipal, déclare surseoir jusqu'à ce que la juridiction administrative ait statué sur la légalité de l'arrêté dont on lui demande l'application, le ministre de l'intérieur est-il fondé à soutenir l'irrecevabilité de la requête formée devant le Conseil d'Etat par le motif que le délai imparti pour saisir le conseil d'un recours pour excès de pouvoir, se trouverait expiré depuis longtemps ? - Rés. nég. - La requête n'a pas le caractère d'un recours pour excès de pouvoir, c'est une demande en déclaration de nullité ; mais le conseil d'Etat ne peut statuer que sur les questions comprises dans le renvoi.
Décret du 16 mars 1906