Vu la requête sommaire enregistrée au greffe de la cour le 13 décembre 1990, présentée pour M. X... demeurant ... - CAVALAIRE-SUR-MER, par la S.C.P. PEIGNOT, GARREAU, avocat aux Conseils ;
M. X... demande à la cour :
1°) d'annuler le jugement du 11 octobre 1990 par lequel le tribunal administratif de Nice a rejeté comme portée devant une juridiction incompétente pour en connaître, la demande tendant à la condamnation de l'office public d'H.L.M. du Var à lui verser une indemnité représentatrice d'allocation pour perte d'emploi d'une durée de 426 jours,
2°) de condamner l'office public d'H.L.M. à lui verser ladite indemnité ;
Vu les autres pièces du dossier ;
Vu le code des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel ;
Vu la loi n° 87-1127 du 31 décembre 1987 ;
Les parties ayant été régulièrement averties du jour de l'audience ;
Après avoir entendu au cours de l'audience publique du 19 mars 1991 :
- le rapport de Mme DEVILLERS, conseiller ;
- et les conclusions de M. CHAVRIER, commissaire du gouvernement ;
Considérant que par jugement du 11 octobre 1990, le tribunal administratif de Nice a rejeté la demande de M. X... tendant à la condamnation de l'office public d'H.L.M. du Var à lui verser une indemnité représentative de l'allocation pour perte d'emploi ; qu'après avoir fait appel de ce jugement, M. X... s'est désisté de sa requête ;
Considérant que le désistement du requérant est pur et simple ; que rien ne s'oppose à ce qu'il en soit donné acte ;
Article 1er : Il est donné acte du désistement de la requête de M. X...;